professeure agrégée en SVT, a d’abord écrit des manuels scolaires et articles pédagogiques avant de se consacrer à la littérature.
Elle partage son expérience à travers contes, nouvelles et romans, régulièrement primés.
Lauréate de concours internationaux d’Arts et Lettres de France, elle a reçu une médaille de bronze (2020-2021), puis en 2024, une médaille de bronze de l’Académie ASL et une médaille d’argent d’ALF.
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La Femme parfaite
Après 25 ans de mariage avec Jason, un homme manipulateur et abusif, Lili décide de tout quitter pour se reconstruire. Le couple vend leurs biens et embarque pour une année de croisière à bord du voilier Cannelle, espérant échapper aux tensions et trouver un renouveau.
Au delta de l'Ébro, un lieu mystique où beauté naturelle et phénomènes inexplicables se mêlent, une piqûre de méduse provoque la disparition de l'ombre de Lili, symbole de sa quête d'identité et de liberté. Isolée et en proie au doute, elle rencontre Blirage, un pêcheur énigmatique devenu son guide spirituel, qui l'aidera à surmonter ses traumatismes et à découvrir la véritable nature des ombres.
Entre confrontations personnelles et forces mystiques, Lili doit affronter ses peurs pour se libérer de l'emprise de Jason et embrasser pleinement sa transformation.
La femme parfaite est une histoire poignante de résilience et de transformation, où mysticisme et réalité s'entrelacent. A travers des épreuves intenses et des rencontres spirituelles, Lili trouve la force de se réinventer, soutenue par ses amitiés et guidée par des forces invisibles, offrant un voyage inspirant vers la paix intérieure.
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Isabel Lavarec, professeure agrégée de SVT, a enseigné en France et outre-mer avant de se consacrer à l’écriture. Lauréate de nombreux prix littéraires, elle explore l’imaginaire à travers romans, contes et nouvelles. Comédienne et conteuse, elle partage des récits riches d’humanité et d’aventure.
Lien vers l’extrait en line : https://www.calameo.com/books/00008426647c15c1af602
“La Femme parfaite” d’Isabel Lavarec-Molina
– Quand la disparition d’une ombre révèle une quête de liberté et de résilience
Que se passe-t-il lorsqu’une femme perd son ombre ? Lorsqu’une simple piqûre de méduse déclenche un phénomène aussi inexplicable que symbolique ? Lili, l’héroïne de La Femme parfaite, ne le sait pas encore, mais cette disparition est bien plus qu’un mystère à résoudre. C’est le signe tangible d’une transformation intérieure, une rupture avec un passé oppressant, un pas vers une liberté qu’elle n’osait plus espérer.
À travers ce roman captivant, Isabel Lavarec-Molina tisse une intrigue où le surnaturel devient le révélateur d’une quête identitaire puissante. Après vingt-cinq ans sous l’emprise d’un mari manipulateur, Lili s’embarque pour une année en mer, pensant fuir ses chaînes. Mais c’est au delta de l’Ébro, dans un décor où la nature semble vibrer d’étranges énergies, que son véritable voyage commence. Privée de son ombre, elle doit affronter ses traumatismes et se réinventer.
Mystère, résilience, et émancipation féminine s’entrelacent dans ce récit où chaque élément a une signification cachée. Que signifie être une « femme parfaite » ? Se conformer aux attentes ou se libérer de l’image imposée ?
À travers un réalisme magique subtil et une tension psychologique intense, Isabel Lavarec-Molina signe un roman qui bouscule et captive. Un livre qui interroge, fascine et ne laisse personne indemne.
Un roman initiatique où l’ombre devient révélatrice
Le voyage de Lili commence lorsqu’elle décide de tout quitter, laissant derrière elle Jason, son époux abusif. Le couple vend ses biens et s’embarque pour une année en mer à bord du voilier Cannelle. Une tentative d’échapper aux conflits et de se réinventer, mais l’illusion ne dure pas.
C’est au delta de l’Ébro, lieu à la beauté saisissante et au magnétisme troublant, que la bascule se produit. Une piqûre de méduse, en apparence anodine, déclenche un phénomène mystérieux : l’ombre de Lili disparaît. Un bouleversement qui, loin d’être anecdotique, devient le déclencheur d’un processus profond. Car que signifie perdre son ombre, sinon être enfin débarrassé du poids du passé ?
Dans cet entre-deux fascinant entre réalité tangible et surnaturel, Lili rencontre Blirage, un pêcheur énigmatique qui devient son guide spirituel. À travers ses enseignements et les épreuves qu’elle traverse, elle se confronte à ses peurs et interroge les liens invisibles qui l’enchaînent encore à Jason.
La disparition de son ombre devient alors un révélateur : Lili n’est plus définie par l’image imposée par son mari, par la femme qu’il voulait qu’elle soit. Le cheminement vers sa renaissance s’entame, porté par un récit qui mêle subtilement introspection, tension psychologique et onirisme.
Un questionnement sur l’identité et la notion de “perfection”
Le titre La Femme parfaite résonne comme un paradoxe. Que signifie être “parfaite” ? Est-ce se conformer aux attentes des autres, lisser ses aspérités, gommer ses fêlures ? Ou au contraire, s’autoriser à être pleinement soi, avec ses blessures et sa lumière propre ?
Le roman d’Isabel Lavarec-Molina interroge cette pression sociale et intime qui pèse sur les femmes, souvent contraintes à un rôle figé, où l’abnégation est érigée en vertu. En se libérant de Jason, Lili déconstruit ce carcan et questionne ce que signifie être “complète”. Une réflexion qui, loin d’être didactique, s’exprime à travers un récit vibrant d’émotions et porté par une symbolique puissante.
Là où le fantastique s’invite dans l’histoire, il ne sert pas de simple effet narratif : il amplifie le propos, donne une matière sensorielle aux émotions de l’héroïne et enrichit son parcours d’une profondeur supplémentaire.
Un roman qui trouve un écho chez les lecteurs
Depuis sa sortie, La Femme parfaite suscite un engouement notable. De nombreux lecteurs saluent la finesse psychologique du roman et son approche originale des thématiques de la reconstruction et de l’émancipation.
Une chronique du média Fahrenheit 452 : Autour des livres met en avant la singularité du récit et son impact émotionnel :
“Un magnifique roman dans la veine du réalisme magique, qui, dès les premières lignes, m’a embarquée ! (…) Tout commence avec l’ombre de Lili qui se détache d’elle et rejoint son mari… Cette « rupture » forcée avec celle qui partageait jusqu’alors sa vie est en fait positive, puisque c’est ce qui va permettre à Lili de s’émanciper, de se libérer et de se réinventer. (…) Ce roman initiatique a une dimension onirique et lumineuse.”
D’autres retours soulignent l’équilibre entre mystère et réflexion psychologique, évoquant une lecture immersive qui amène à repenser ses propres relations et conditionnements.
Un autre lecteur, professeur de littérature à l’université, souligne la force des thèmes abordés et la résonance qu’ils peuvent avoir :
“J’ai dévoré ce roman et ai particulièrement apprécié le lien entre réalité et mysticisme, l’évocation du couple et la quête d’identité. Les thématiques de cet ouvrage sont fortes et permettront à des lecteurs, lectrices peut-être, de prendre leur envol, de réfléchir à leur vie et de se libérer de tout ce qui les empêche de se réaliser. Une lecture qui m’a marquée et émue.”
Enfin, un dernier retour insiste sur la qualité de l’écriture et la portée du récit :
“Ce livre est bien plus qu’une simple fiction. Il nous pousse à nous interroger sur nos propres attachements, nos propres ombres. Un roman qui reste en tête longtemps après l’avoir refermé.”
Quand un détail anodin devient une source d’inspiration
L’idée de La Femme parfaite a émergé au cours d’un séjour en voilier, non loin du lieu qui sert de décor au roman. Isabel Lavarec-Molina, fascinée par les phénomènes inexpliqués, a observé un détail intriguant : des plongeurs, visibles sous l’eau avec leur ombre, semblaient s’en détacher en remontant à la surface.
Un jeu de lumière qui, dans son esprit, est devenu une métaphore plus vaste : et si perdre son ombre était un passage obligé pour se redéfinir ?
Cet événement anecdotique a alors nourri une réflexion plus profonde, donnant naissance à un récit où le mystère devient une clé vers la liberté.
Infos Pratiques
La Femme parfaite, d’Isabelle Lavarec
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ASIN : B0DW3RLKLZ ;
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Éditeur : EX AEQUO (14 février 2025) ;
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ISBN-13 : 979-1038809741 ;
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Format : Broché ;
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Prix : 18 €.
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Portrait de l’auteure, Isabel Lavarec
Isabel Lavarec a toujours été guidée par sa vocation d’enseignante, un rêve d’enfance qu’elle a exercé avec passion.
Professeure agrégée des Sciences de la Vie et de la Terre, elle enseigne dans divers cadres éducatifs tels que lycées, Écoles Normales, IUFM, et universités, aussi bien en France qu’à l’international, y compris en Algérie, en Martinique et à Tahiti. Isabel devient par la suite directrice du département Sciences à l’IUFM de Nice puis responsable départementale de l’action “main à la pâte”. Son implication dans l’éducation s’est étendue à la création de manuels scolaires pour les éditions Nathan et Sed, laissant une empreinte durable dans le secteur éducatif.
Outre l’enseignement, Isabel explore le domaine de l’écriture avec un enthousiasme et une dévotion qui confinent à la jouissance. Elle décrit l’écriture de fiction comme une aventure où l’auteur devient omniscient, capable de manipuler les univers et les destins de ses personnages.
Toutefois, elle souligne la nécessité des garde-fous tels que les exigences des lecteurs, la cohérence de l’histoire et l’intégrité de l’auteur. Cette démarche créative l’amène à publier des romans policiers, fantastiques, de science-fiction, ainsi que des contes et nouvelles.
Engagée dans la communauté littéraire, Isabel participe régulièrement à des concours internationaux où elle est récompensée à plusieurs reprises, notamment par une médaille de bronze d’Arts et Lettres de France. La lecture et les échanges lors des rencontres en librairies et salons littéraires sont pour elle sources de bonheur et de renouveau, lui permettant de sortir de l’isolement inhérent à l’activité d’écrivain et de partager sa passion pour la littérature et l’éducation.
En savoir plus
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Contact Presse
Isabel Molina-Lavarec
Mail : isabel.lavarec@free.fr
Mystery, humor, poetry and philosophy collide and collide in this fable.
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This fantasy novel for young adults and adults sets the action in a contemporary context.
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It is a story of a separated couple and of life that continues. Vast problem, which interests all of us. " Who am I ? Where I come from ? Where am I going ? Are questions we all ask ourselves consciously or unconsciously. Everyone must answer them. Just like Lili and Jason where shadows and jellyfish symbolize part of their unconscious.
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A gripping double plot, beautiful humorous, philosophical, symbolic, poetic projections and two moving and endearing protagonists: this is the cocktail that will keep you going from the first to the last page.
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But "Lili, the first wife of Vitruvius" is much more than that.
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Isabel LAVAREC confirms:
“It took several years to weave this story. Through this story, I wanted to show that after a separation, life can continue and even that we can give it a new meaning. By putting the work back on the job, I realized that I had to go further, and confront my characters with their ideas and beliefs. Hence the vigils and discussions between friends. We are not free electrons, we live in a physical, media, sensory, cognitive, emotional environment… ”
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In addition, Isabel LAVAREC draws on her knowledge as an Associate Professor of Life and Earth Sciences to put poetry into detailed observations of animal scenes and to draw some lessons from them about life.
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A very original angle
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Unlike other fantastic novels, "Lili, the first woman of Vitruvius" plunges readers into the heart of questions on Nature, on life in general and in what it has most intimate, all of this. in a maritime and seaside atmosphere.
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Isabel LAVAREC underlines:
“' Giving meaning to your life' cannot be acquired from outside. It requires a long work on oneself. The meaning that one gives to one's life is, in a way, only the reward of a peace found with oneself . "
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And from start to finish, nature deploys its benefits to appease us and convince us of the need to save it. All these lessons are to be discovered!
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Two extracts from the book
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* About Lili
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“Late at night, Cinnamon anchors its anchor in one of the lagoons formed by the Ebro delta.
Curious and eager for natural beauty, I get up early to admire the landscape. I took my breath away!
The sailboat is anchored in the middle of a circle of lagoons dotted with oyster beds. Not a wrinkle on the big salted mirror. From time to time, a few hunting fish distort the monotony of the surface. An iodine smell, the songs of gulls, a light breeze in the nose. Calm…
A sea of dunes on the port side, large, small, ocher, glazed with plants that I do not know, and the reserve! I watch through the binoculars. I have never seen so many seabirds grouped together in such a small space.
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I see a crane swallowing a fish, I try to take a picture of it. Too far, my zoom is not powerful enough. I have to go ashore. I quickly scribble a note to warn Jason of my desire to take a walk on the marked path that crosses the natural park. Before depositing the ticket near my husband, I take the time to watch him sleep. Mouth open, hair in disarray, I find him touching. I pick up the empty whiskey bottle lying around on the floor. I know he'll be sleeping for a long time yet.
- Well, I said to myself, I will be able to go to the middle of the reserve.
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With my camera, here I am paddling down to the beach. I have to unwind the prame to put it dry. Difficult exercise for me who am small and frail. I pull with all my strength. The surf zone barely passed, I feel a sharp pain in my calf, let go of everything and run in the water.
- A jellyfish, you dirty beast!
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The animal's fire paralyzes my leg. Suddenly, everything becomes blurred, landscapes, sounds, cries. My head begins to spin. Limping, I reach the edge of the water where I lie down. After a while, I remember taking a lemon with me. It must be in the small pocket of my backpack that was still in the boat. Despite the pain, I retrieve the sour fruit, cut it with my teeth and rub the many small burns. To overcome the suffering, I concentrate on my breathing, then drag myself to the top of the beach and, looking at the horizon, let the time pass.
I think of the boat, of the deck that I will have to wash when I get home.
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The pain seems to have eased, I resume my walk.
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On vacation, far from the hustle and bustle of the city, I like to go for a walk early in the morning. Discreet, as always, to make me forget, as if I was guilty.
Guilty of what? I do not know. An impression. A lump that very often settles deep in my stomach and eats away at me.
- The stress of work and a diet too rich, had decreed the doctor at the time. Maybe, but then why didn't the lump disappear with my new way of life? "
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* Regarding Jason
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“I hold a naiad in my arms. I am flabbergasted.
- Who is it ? It's not Lili! What is this joke?
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I'm not moving. I am suddenly afraid. The Venus, asleep in a dancer's pause, is even more desirable. It's a dream !
No, I feel good in my cabin, in my bed, “naked, with that in my arms!” My shorts and T-shirt are tidy on the bench. I notice a cardboard box, in the shape of a heart marked with a “love and peace”, placed against the corner of the wardrobe. A hippie! This movement dates from the years 1960-70. How did she get here? I hardly dare to breathe, wanting to keep the spell in my arms as long as possible. I watch him.
- Silky skin, long hair, sublime smell. The woman of my fantasies.
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I close my eyes. “No, I am dreaming. It is only an illusion, a follower of free love! ” I open them again and walk around the room without moving or shaking my head.
- Watercolor by my friend Rémi, Lili's clothes in the closet. I am well in my boat. It is a Charm.
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I look at her again, barely moving for fear of making the enchantment go away.
- Am I dead? I must have arrived in the place where men are greeted by fairies.
I pinch my thigh. I'm alive. Beauty is awakened by the light rustle of the sheet. His eyes are huge, enigmatic. I have the impression of losing myself in their depths. What color are they ? I could not say it, they attract me so much.
The stranger turns away, ignoring me. Lascivious, the divine creature rises, looks at his appearance in the mirror. Appreciate, then put the tip of the left index finger on her right hip, making a little cutie that makes her even more desirable.
- Ah! There's a little bump here. Too late.
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I widen my eyes: she's talking, too! This observation paralyzes me with fear. Who is this woman ? Is she real or is it a fantasy? Have I gone mad?
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Determined, she pulls the curtain to eliminate the little light filtering through the portholes, then turns towards me, takes me by the waist and without transition pulls me into the whirlwind of amorous delights. This flight, so imaginative, for a seventh heaven, is pure wonder for me who am so conventional.
- Of honey ! I must be in another dimension.
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Still on my little pink cloud, I stumble out. This excess of pleasures makes me falter. The fresh air outside makes me feel good.
On the deck, the wind whistles in my ears. My conscience reminds me of your absence, Lili. With a quick wave of my hand, I sweep away these baroque thoughts. Despite the rough seas, I managed to get up to the mast. I hang on to the boom to contemplate the sky. Amazing, the feeling that inhabits me. I suddenly feel a stranger to myself, to my boat, to the world. The lead color of the horizon only makes me react after a while.
- The wind is starting to get stronger. Heavy weather is coming, it will shake.
My old sailor reflexes finally take over. I scan the sky, analyze it.
- The grain is still far away. It will flow into the lagoon or onto the dunes.
By gripping the dies, I arrive at the front and like an automaton, reinforce the itague [1] which relieves the windlass [2]. Here is Cinnamon ready for a hurricane.
Suddenly, I realize that there is only a dinghy moored to the boat.
- Good God, how did she get here? Where is his canoe? "
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Isabel LAVAREC is also detective novels for teenagers with Halinea's investigation books
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Fahrenheit 452 : Autour des livres
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Bonsoir !
Notre toute dernière chronique : La Femme parfaite d'Isabel Lavarec-Molina (Éditions Ex Æquo) : coup de
Un magnifique roman dans la veine du réalisme magique, qui, dès les premières lignes, m’a embarquée !
Au départ, Lili rejoint ses amis et Noé, le frère de son ex-mari, Jason, à l’occasion du premier anniversaire de sa mort. Elle a promis à Noé de raconter son histoire et cette mise en abyme est l’occasion de vivre, pour nous, lecteurs, une aventure des plus originales !
« – L’estuaire de l’Ebro où je demeure, a apporté des éléments de réponse à la question qui me tarabuste depuis l’enfance : le normal peut-il cohabiter avec le paranormal ? »
Tout commence avec l’ombre de Lili qui se détache d’elle et rejoint son mari… Cette « rupture » forcée avec celle qui partageait jusqu’alors sa vie est en fait positive, puisque c’est ce qui va permettre à Lili de s’émanciper, de se libérer et de se réinventer. La disparition de son ombre est le symbole métaphorique de cette rupture avec un passé oppressant. Ce roman initiatique a une dimension onirique et lumineuse.
La femme parfaite nous propose également de réfléchir à la notion de « femme parfaite ». Qu’est-ce que la perfection, sinon une illusion qui enferme ? En brisant cette image factice, en acceptant ses fêlures, Lili renaît et se réapproprie sa propre lumière.
Le cadre du delta de l’Ebro, à la beauté sauvage, nous fait voyager. Comme dans Cent ans de solitude de Gabriel García Márquez, la nature y est vibrante, presque magique. C’est là que surgit Blirage, ce pêcheur énigmatique dont la sagesse rappelle les guides spirituels des contes initiatiques, et qui aide Lili à renouer avec elle-même.
J’ai dévoré ce roman et ai particulièrement apprécié le lien entre réalité et mysticisme, l’évocation du couple et la quête d’identité. Les thématiques de cet ouvrage sont fortes et permettront à des lecteurs, lectrices peut-être de prendre leur envol, de réfléchir à leur vie et de se libérer de tout ce qui les empêche de se réaliser.
Une lecture qui m’a marquée et émue…
MERCI !
Réponse de l'auteure
Votre lecture attentive et votre retour me touchent profondément. Ce que vous soulignez – l’entrelacement entre réalité et mysticisme, la quête d’identité, l’évolution du couple – sont en effet des aspects essentiels de mon roman. Savoir que ces thématiques résonnent en vous et peuvent, peut-être, aider d’autres lecteurs à réfléchir et à se libérer de leurs propres entraves est pour moi une immense satisfaction.
Merci pour vos mots qui me vont droit au cœur.

2..Commentaires à la suite de la lecture de "La femme parfaite"
Commentaire d'Alain Masson
Voilà plusieurs semaines que j’ai laissé Lili dans sa lagune et Jason dans son au-delà des mers. Leurs histoires parallèles, leurs parcours a fait trace en moi. Une empreinte légère et puissante à la fois. Ce roman n’a pas touché ma raison et ne m’a pas enrichi de connaissances nouvelles. Il est plutôt allé remuer au fond de moi des choses essentielles liées au Grand Féminin (je suis un homme, dois-je dire Hélas ?) et à la nécessaire intégration de l’Ombre que chacun porte en soi. Il a d’ailleurs alimenté mes rêves nocturnes plusieurs nuits encore après avoir terminé sa lecture. C’est ce que j’attends d’un livre !
Je ne qualifierais pas ce roman de fantastique, l’univers qu’il déploie m’ayant paru étrangement familier. Avec une grande facilité à me reconnaître souvent dans les personnages qu’il fait vivre. Il est radicalement initiatique en nous faisant assister et participer au processus qui sort l’héroïne d’une vie inscrite dans le banal consensuel pour la faire entrer dans l’entièreté de son être, avec toutes les résistances, les doutes et les souffrances que cela engendre.
La première femme de Vitruve m’avait intrigué et étonné. En bout de roman, il me semblait évident. C’est aussi la vertu de ce livre d’éclairer, sans même que l’on s’en rende compte, cette figure sublime, inscrite dans l’inconscient collectif, de l’Homme inscrit à la fois dans un carré et un Cercle. Il fallait un certain culot pour y placer une femme ! Pourtant je ne crois pas que Léonard y aurait trouvé à redire, bien au contraire.
Plus anecdotique, quoique ? Je me suis pris à aimer profondément cette lagune au point d’avoir envie de la découvrir pour de vrai…et si possible de l’atteindre en bateau. L’auteure connaît la magie de la mer et de la navigation, c’est sûr !
Une lecture d’apparence légère et loufoque. Ne jamais se fier aux apparences ! Merci Lili pour ce voyage qui ne laisse pas indemne.
Alain Masson
3. Commentaire de Nicole Laratte
"Est-ce seulement un roman fantastique, palpitant à lire comme un policier, nage t’on dans l'irréel, l'onirique, avec des histoires d'ombres et de méduses, des histoires dans l'histoire où chaque narrateur contribue à la construction d'une vision globale de l'univers qu'Isabel ne formalise qu'à la toute fin ?"
Lili, à qui son père dira : "trace le cercle de la vie et place toi bien en son centre" rappelle immédiatement Vitruve, architecte romain et son célèbre dessin annoté par Léonard de Vinci qui lui permettra de déterminer le nombre d'or...
Lili, qui concentre toutes les passions de l'auteure : le bateau, la voile, la navigation, son vieux loup de mer de mari Jean Pierre, sa connaissance des sciences de la nature, des plantes et des parfums, de leur couleur et de leur taux vibratoire, un tableau de Jacques Eitelwein qui construisit des œuvres en s'appuyant sur le nombre d'or...
Lili finira par délivrer son ultime message, une vision quantique du monde à laquelle chaque narrateur apporte sa pierre. Et qu'elle ne dévoile qu'à la fin de ces pages à lire comme une histoire fantastique pas si fantastique que cela...
" Le cosmos pourrait être une structure infinie d'ondes où tout est lié à tout " (ondes lumineuses, olfactives, énergétiques)
" Les ondes font que la vie est un changement de domaines vibratoires et que la mort n'est pas un anéantissement "
Nicole Laratte
Août 20 20
Pour Isabel LAVAREC en toute amitié
En marge des pérégrinations d‘une femme libérée de ses entraves terrestres
Ce barde taquine la muse et à la manière d'Érato envoie de la musique pour le plaisir de ses fans.
Voulez lire quelques unes de ses fantaisies ?
Vos désirs sont des ordres :
Poème écrit après la lecture du roman fantastique
"La femme parfaite"
Ce récit, comment dire ? m'a bousculé ou, pour employer une expression entendue dans cette région, "dévarié"
La tentation est d'effectuer des rapprochements...aucun n'est cependant pertinent à mon sens
Hugo Von Hofmannsthal et Richard Strauss pour leur opéra "La femme sans ombre", mais, hormis le titre, la situation est fort différente, voire opposée :
une impératrice du monde des esprits amoureuse d'un terrien veut "descendre" mais elle doit pour procréer se doter d'une ombre ...
"Juliette des esprits" de Fellini...et ses fantasmes... peut-être...
"La vie est un songe" Calderon, texte magnifique où la frontière entre rêve et réalité s'estompe...mais le thème est plutôt centré sur le pouvoir
Idem pour Macbeth et sa fameuse phrase "la vie n'est qu'une ombre qui passe...etc." Alors ai-je cru "bon" de contribuer à illustrer "la femme de Vitruve" avec un texte en 4 parties que l'on peut faire tourner dans le sens des aiguilles d'une montre... Entre parenthèses, cela m'a conduit à me documenter sur l'architecte-ingénieur du temps d'Auguste avec ses multiples de deux, quatre et six pour figurer l'harmonie de son être humain... pas trop abîmé par l'âge.
Jean Pachot
ce qui est sûr c'est que tu as un sacré style, un humour sous-jacent raffiné et une grande originalité de pensée. On navigue entre ombres et mondes parallèles... Serions- nous des hologrammes ? Je n'ai pas trouvé la réponse mais c'est un fait, on devient un peu schizo. J'ai été surpris, c'est très fort

Interview de Isabel Lavarec : La femme parfaite - De l’Ombre à la Lumière - Nature, Résilience et Liberté dans l’écriture d’Isabel
Isabel, comment votre parcours en tant que professeure agrégée des Sciences de la Vie et de la Terre influence-t-il votre écriture sur des thèmes tels que la liberté et la résilience ?
Mon parcours en tant que professeure agrégée des Sciences de la Vie et de la Terre imprègne profondément mon écriture, notamment en ce qui concerne la liberté et la résilience.
Mon enfance, marquée par une grande proximité avec la nature et une liberté forgée dans les vastes espaces d'une ferme, se reflète dans mes personnages et mes récits. Cette connexion instinctive avec les éléments naturels se traduit dans La Femme Parfaite, où Lili, à l’image de mon propre vécu, dialogue avec la nature et les animaux, trouvant en eux un refuge et une source de compréhension.
Mon regard scientifique enrichit également mon approche de ces thèmes. La résilience, qu’on peut observer dans le monde du vivant – adaptation, survie, transformation –, s’incarne chez mes personnages, notamment dans leur capacité à s’affranchir des contraintes et à se reconstruire. Ma compréhension fine des processus naturels nourrit ainsi une écriture où la nature devient un miroir des émotions humaines et un levier d’émancipation.
Dans ‘La Femme parfaite’, l'ombre disparue devient un symbole puissant. Pour vous, qu'est-ce que l'ombre représente dans la lutte pour la liberté et l'émancipation individuelle?
Dans La Femme Parfaite, l’ombre n’est, en réalité, ni une absence ni une entrave. Elle est souffle, guide et libération. Elle se dit être un filtre de la conscience. Mais par ses actions -après sa réincarnation- elle montre qu’elle n’est pas dans la censure, au contraire, elle est celle qui éclaire et oriente. Elle parle à l’héroïne, murmure à son oreille des vérités longtemps tues, étouffées sous le poids d’une éducation où la femme devait s’effacer, se contenir, se soumettre.
Mais cette ombre-là, loin d’être un vestige du passé, se fait éclaireuse. Elle est un sur-moi affranchi, délesté des chaînes d’un patriarcat imposé, délivré des injonctions qui font taire. Au lieu d’être la voix de la conformité, elle devient la force du choix. Elle dit : ose. Elle dit : existe. Elle dit : prends ta place, non à la marge, mais au centre.
L’ombre, dans sa disparition, ne s’efface pas. Elle se fond en la femme, s’incarne en elle, la traverse et l’éveille. Elle n’est plus une entité séparée, un reflet ou un fantôme du passé. Elle est intégrée, assimilée, transcendée. Elle devient cette impulsion qui fait de l’héroïne une femme de Vitruve, un être en équilibre, parfaitement centrée dans l’espace qu’elle s’octroie.
Votre récit évoque une quête de résilience et de libération des attentes sociales. Quels éléments de votre propre vie ont enrichi votre compréhension de ces thèmes ?
Mon histoire est celle du mouvement, des frontières franchies et des terres quittées sans retour. Depuis au moins trois générations, nous naissons dans un pays et mourons dans un autre. Cet exil répété, cette impossibilité d’appartenir pleinement à un seul lieu, forge une conscience aigüe de la perte, mais aussi une capacité d’adaptation infinie.
Je suis née dans une colonie française, espagnole de sang, mais naturalisée seulement par le droit. Ni tout à fait d’ici, ni tout à fait d’ailleurs, j’ai grandi dans cet entre-deux, où l’identité se construit dans le regard des autres autant que dans le sien propre. Et puis, il y a eu mai 1968, ce souffle révolutionnaire qui a fait trembler les fondations d’un monde figé. J’ai vécu cette transition, ce passage d’un régime patriarcal pesant à une époque d’émancipation et de revendications. J’ai vu les chaînes se fissurer, les interdits vaciller, la voix des femmes se lever.
Dans ce chaos des repères, la nature a été mon ancrage. Elle ne juge pas, ne rejette pas. Elle accueille et enseigne. Comme elle, j’ai appris la résilience, l’adaptation, la force tranquille de celui qui ploie sans se briser. Dans mes récits, cette connexion s’exprime comme une évidence : la nature est un refuge, un miroir et une force. Elle porte en elle l’histoire de la transformation, des passages, de l’impermanence qui n’est jamais une fin mais toujours une renaissance.
Ainsi, la quête de mes personnages est aussi la mienne. Celle d’une liberté qui se construit non pas contre, mais avec – avec l’héritage, avec le passé, avec la nature qui nous enseigne qu’être libre, c’est savoir grandir là où l’on se trouve, sans renier ses racines, mais en les laissant tracer un chemin vers l’avenir.
La manipulation psychologique est un thème récurrent dans votre livre. Comment abordez-vous cette complexité dans le développement de vos personnages ?
Dans La Femme Parfaite, la manipulation psychologique n’est pas une mécanique simpliste, un simple rapport de force entre un dominant et un dominé. C’est une toile subtile, tissée dans l’invisible, un conditionnement qui s’infiltre dans les esprits avant même que la conscience ne s’éveille.
Mon approche de ce thème est intimement liée à l’éducation, aux normes sociales et aux attentes qui façonnent l’individu bien avant qu’il ne réalise qu’il doit s’en affranchir. La femme, en particulier, porte sur ses épaules un héritage de soumission intériorisée, un cadre imposé qui dicte ce qu’elle doit être, penser, ressentir. Mon héroïne en est prisonnière, mais elle porte aussi en elle la clé de son émancipation.
C’est là que l’ombre intervient, ce sur-moi libéré des carcans patriarcaux, cette voix intérieure qui s’affranchit des injonctions et recompose une nouvelle vérité. Mais avant de s’en libérer, il faut l’affronter. Lili évolue ainsi au gré de confrontations intimes, d’illusions brisées, de désillusions nécessaires. La manipulation psychologique n’est pas qu’un piège tendu par autrui, elle est aussi une prison intérieure, faite de croyances et de peurs inculquées, de fidélités invisibles.
En déconstruisant ces mécanismes, en mettant en lumière l’influence insidieuse qui pèse sur l’esprit, je ne cherche pas seulement à dénoncer, mais à montrer la possibilité de s’en extraire. Car la manipulation ne triomphe que lorsqu’elle demeure inconsciente. Dès lors qu’elle est perçue, analysée, remise en question, elle perd son pouvoir.
C’est ce voyage-là que je fais vivre à mon personnage : une prise de conscience progressive, un éveil qui la mène de la soumission à l’affirmation, de l’ombre à la lumière, de la passivité à la liberté. Lili devient alors, la première femme de Vitruve.
Le réalisme magique joue-t-il un rôle essentiel dans votre écriture pour exprimer les tensions psychologiques et la quête identitaire ?
Dans mon écriture, le réalisme magique n’est pas un simple artifice narratif, il est un langage, un pont entre le tangible et l’intangible. Il me permet d’exprimer ce que les mots rationnels peinent à saisir : les tensions psychologiques profondes, les fractures identitaires, les combats intérieurs qui ne se laissent pas toujours enfermer dans une logique cartésienne.
Les images, les métaphores, les allégories deviennent alors des révélateurs. Elles subliment l’indicible, traduisent les doutes, les blessures, les désirs refoulés sous une forme qui échappe aux contraintes du réel. Un objet peut devenir un symbole, une ombre peut parler, un paysage peut refléter un état d’âme.
Dans La Femme Parfaite, cette approche se manifeste pleinement. L’ombre y devient un sur-moi libéré, un guide intérieur détaché des injonctions patriarcales. Elle n’est pas une entité fantastique, mais une présence qui, dans sa disparition, signe la métamorphose de l’héroïne Lili. De même, la nature joue un rôle initiatique, miroir des transformations intérieures, témoin silencieux de la quête identitaire.
Le réalisme magique me permet ainsi de rendre visibles les tensions invisibles, d’offrir à la psychologie un espace d’expression où elle se déploie avec force et poésie. Car au-delà des mots, ce sont souvent les images qui marquent l’esprit et révèlent les vérités enfouies.
En abordant la rupture avec le passé et la renaissance personnelle dans votre livre, quelle est votre réflexion sur l’importance de se confronter à ses traumatismes pour avancer ?
Les traumatismes sont comme des pierres semées sur le chemin de l’existence. On peut tenter de les ignorer, les contourner, feindre qu’ils n’existent pas, mais ils restent là, incrustés dans la mémoire et l’inconscient. Ils forment des failles, parfois invisibles, parfois béantes, qui influencent les décisions, les peurs, les désirs.
Dans La Femme Parfaite, la rupture avec le passé ne signifie pas l’oubli. L’héroïne, Lili, ne peut se reconstruire qu’en traversant ses propres ombres, en acceptant de regarder en face ce qui l’a façonnée, ce qui l’a entravée. La confrontation avec le passé est douloureuse, mais elle est aussi nécessaire. Car c’est en explorant les failles qu’on peut les comprendre et, parfois, les refermer.
Pour moi, avancer ne signifie pas effacer. Cela signifie réintégrer, transformer les blessures en une force nouvelle. C’est dans cet espace fragile entre effondrement et résilience que naît la possibilité d’une véritable renaissance. Une renaissance qui ne nie pas les fractures du passé, mais qui les accepte comme des étapes d’un parcours, comme des cicatrices qui témoignent du chemin parcouru.
Dans mon écriture, cette quête de reconstruction est essentielle. Elle n’est pas un retour en arrière, mais une métamorphose, un passage où l’individu ne se débarrasse pas de son passé, mais le réinvestit autrement. Car au final, ce n’est pas l’oubli qui libère, mais la capacité à donner un nouveau sens à ce qui a été.
À votre avis, comment la perception de la perfection et la libération des attentes sociales influencent-elles notre quête de confrontation et notre résilience personnelle ?
Nous avançons tous guidés par une étoile flamboyante, une utopie personnelle qui éclaire notre chemin et donne un sens à notre existence. Qu’elle prenne la forme d’un idéal, d’un rêve ou d’une quête intérieure, elle façonne notre regard sur le monde et sur nous-mêmes.
Mais ce chemin n’est jamais linéaire. Il est parsemé d’obstacles, de désillusions, de traumatismes qui marquent et façonnent l’individu. Les attentes sociales, souvent imposées dès l’enfance, viennent s’ajouter à ces épreuves, dictant ce que nous devrions être, comment nous devrions agir, penser, réussir. La "perfection", cette norme illusoire, devient un poids, un cadre rigide qui enferme plus qu’il ne guide.
Se libérer de ces attentes, c’est oser la confrontation. C’est déconstruire ce que l’on croyait être des vérités absolues pour redéfinir son propre chemin. La résilience naît dans cette capacité à questionner, à déconstruire pour reconstruire autrement. Se transformer n’est pas renier son passé, mais métamorphoser ses blessures en force, redonner une forme nouvelle à son histoire.
Dans La Femme Parfaite, cette quête est au cœur du récit. L’héroïne traverse les ombres de l’injonction sociale, affronte ses propres croyances et s’affranchit de l’idéal imposé pour redevenir le centre de sa propre existence - la première femme de Vitruve-. Car la véritable perfection n’est pas celle que l’on nous impose, mais celle que l’on définit pour soi, dans une liberté conquise et assumée.
Finalement, ce n’est pas la perfection qui nous guide, mais la quête elle-même. C’est dans ce mouvement, cette transformation continue que réside la véritable force de l’être humain.
Plus d'informations : https://www.mollisa.fr
The Halinea Notebooks form a series with the same people who investigate and a common thread that connects them: the heroine's tumultuous love with a young gypsy Kiero.
A first opus published in 2016 by Oskar editions: "It is easier to disintegrate an atom than a prejudice", around discrimination.
A second adventure published in January 2020 by Editions Ex-Aequo: “the Stéphanie affair” around school phobia.
Teenagers appreciate seeing the evolution of the character, who grows at the same time as them: in the first opus, Halinea is in 3rd, in "The Stéphanie Affair" she is in second, and so on.
Notebooks 3 and 4, which will lead Halinea to the 1st, are already being written!
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Isabel LAVAREC is also police officers for adults!
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Isabel LAVAREC also published
a historic policeman,
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still at Ex-Aequo editions:
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" A corpse at the locker".
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This is an investigation that takes place just after the slaughter of the 1914-18 war which led to loss of reference points and the trivialization of death.
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In a colorful style that is not devoid of humor, this fiction inspired by a real fact raises awareness of the importance of human beings and the need to give meaning to their lives.
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A disappearance, a corpse in a trunk. In a post-war patriarchal context, the wife of a wealthy merchant, a committed feminist, is the ideal culprit. But is it that simple?
About the author Isabel LAVAREC
Isabel LAVAREC is a retired Associate Professor in Life and Earth Sciences. She has taught in initial and continuing training, at different levels (high school, normal school, PEGC center, IUFM, university) and in different countries, departments and overseas territories (France, Algeria, Comoros, Martinique, Tahiti).
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At the same time, she was part of troupes of amateur actors in Nice, then in Montpellier. She also learned the art of storytelling and interviewing in ethnology.
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His first publications were devoted to themes related to his profession (scientific and educational articles in several specialist journals and several series of textbooks).
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Isabel then decided to pass on her life experience through detective novels, fantasy novels, tales and short stories.
In 2019, his work was rewarded with three prizes issued by the Arts & Lettres de France (international literary prizes): 2nd prize (storytelling section) for “La Symphonie du Bonheur”, 3rd prize (new section) for “Taking one's place nothing but its place ”and 1st accessit (novel section) for“ Lili femme de Vitruvius or crossed shadows).
Useful information
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“Lili, the first wife of Vitruvius” by Isabel LAVAREC
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Editions: Red Ink
211 pages
Sale price: 20 €
ISBN: 978-2-37789-350-8
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